Alexis Haupt – Philosophe

 

 

 

Alexis Haupt Philosophie
@AlexisPhilo
N’empêche, moi je pense que si un candidat se présentait avec, dans les objectifs de son programme, la lutte contre la corruption et la promotion d’enquêtes ou de réformes judiciaires pour, in fine, les mettre tous en prison. Tous ceux qui ont menti pendant le Covid et mis la vie des Français en danger, tous ceux qui mentent depuis le début sur à peu près tous les sujets, qui magouillent, trahissent les Français en permanence et complotent, tous ceux qui ont vendu la France à la découpe à BlackRock, qui piétinent sa souveraineté, qui protègent les squatteurs, les violeurs et autres criminels au détriment des citoyens honnêtes, et qui ont détruit l’économie, l’école, l’hôpital et même l’espoir et la santé mentale de tout un peuple, il remporterait le premier tour haut la main.
Je le pense vraiment.

 

Alexis Haupt Philosophie
@AlexisPhilo
Un jour, il faudra une pièce d’identité pour accéder à Internet, à Google ou à une simple application.

Ce jour-là, si vous postez un commentaire pour dénoncer le système, la corruption, les conflits d’intérêts, les accords cachés entre puissants ou les abus de pouvoir, vous risquerez de perdre certains droits : voyager avec certaines compagnies, payer avec votre carte dans tel restaurant, conduire votre voiture, etc. µ

C’est ce que j’appelle la « répression tacite ». Ce concept a été développé pendant la crise du Covid dans le petit essai : De la société pharmaco-punitive au crédit social. Mais le pire n’est même pas là. Le pire, c’est que, ce jour-là, la majorité de la population croira que fournir son identité est utile, car cela permet à l’État de protéger les enfants, de traquer la pédocriminalité, de lutter contre les fraudes ou le trafic de drogue.

Autant de fléaux dont le système se rend complice aujourd’hui par une dangereuse et incompréhensible clémence.

 

Non, vraiment, il n’y a pas à dire : le Covid a été un véritable coup de projecteur dans l’obscurité Occidentale. Grâce à lui, nous avons pu voir :

. Que la corruption était la norme
. Que les conflits d’intérêts étaient systèmiques
. Qui était de la pure opposition contrôlée
. Qui étaient les pires chiens de garde du système µ
. Qui était paresseux et soumis intellectuellement
. Quels intellectuels étaient en fait de faux humanistes et de grands imposteurs
. Qui étaient de vrais monstres
. Que nous avançons vers une « civilisation de la mort »
. Que le projet est un système de crédit social : fabrique de bons et mauvais citoyens
. Que l’UE a vocation à devenir totalitaire
. Que les politiques étaient les plus grands propagateurs de fake-newsµ
. Que les médias couvraient les fake-news, bref qu’ils désinformaient
. Que les fact-checkeurs n’étaient ni plus ni moins que des complosophistes professionnels
. Que Bill Gates et Faucy étaient des hommes à enfermer
. Que l’instabilité de Macron n’était pas qu’une rumeur
. Que les ministres étaient avant tout choisis pour leur incompétence ou malhonnêteté
. Qu’une élite ploutocratique avait des projets très malveillants pour les humains
. Que l’État profond américain faisait la pluie et le beau temps chez nous
. Et, information très importante : que la masse se moque totalement de tout ce que je viens de dire là, même quand elle a les preuves sous les yeux.

 

 

Publications du philosophe Alexis Haupt

 

 

 

Également :

 

Lance deHaven-Smith
Aux origines de la « théorie du complot »: Un outil de contrôle de la pensée Broché – Illustré, 9 mars 2022
Editeur : YVES MICHEL (mars 2022). Traduction : Marielsa Salsilli.

L’étude universitaire rigoureuse de deHaven-Smith donne des clés simples pour comprendre cette stratégie et se réapproprier le droit de savoir, de comprendre, de douter : un plaidoyer pour redonner une place au débat de société.
La « théorie du complot » permet de ridiculiser et de décrédibiliser toute personne osant exprimer des doutes, ou des critiques, sur l’interprétation officielle (celle des gouvernements relayée par les médias mainstream) d’événements politiques de grande ampleur (assassinats, attentats, guerres, pandémies…). Les dissidents sont désormais taxés d’être «complotistes » ou «conspirationnistes». Cette attaque ad hominem, destinée à juguler le scepticisme croissant des populations vis-à-vis des élites, a été utilisée massivement dès 1964 par la CIA, pour interdire la mise en cause des conclusions de la Commission Warren (mandatée sur l’assassinat du Pdt J.F. Kennedy).

 

 

 

 

 

 

 

 

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